Une petite histoire qui vogue entre 2010 et 2011 au rythme de quatre formules bateau parce qu’il y est surtout question de train. Ou de métro. De notre route, en quelque sorte.
1. Attention à la marche en descendant du train, la menace
2. Lundi, c’est jour de lessive, l’obligation
3. Demain, on rase gratis, l’espoir
4. Faut pas pousser Mémé dans les orties, la résolution
Quand je me
demande quel est mon destin – question que je me pose douze fois par an –, je m’empresse
d’en imaginer un à ma guise et, inconsciemment, j’adapte mon comportement et
mes choix de telle sorte que je parviendrai, peut-être, à faire coïncider le
destin qui me botterait avec celui qui me colle aux fesses. Mais ce n’est qu’un
leurre, car on a beau s’exploser la tête pour le programmer et brancher les
bornes « plus » avec les bornes « moins », il suffit d’une
étincelle pour que la bombe éclate.
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